« Qu'elle se fasse oublier, c'est tout ce qui peut arriver de mieux »

Alors qu'elle s'interroge sur la mémoire collective et la place des femmes dans l'histoire de l'art, Marina découvre les lettres écrites par Camille Claudel en 1905. Elles sont drôles, lucides, déchirantes. Difficile d'imaginer Camille Claudel drôle alors que, sans ressource, elle sombre doucement dans les troubles mentaux et entreprend de détruire ses œuvres. Ébranlée par cette découverte, Marina va remettre en question ce qu'elle croit savoir et mener l'enquête.
Cette pièce donne la parole à une multitude de voix et éclaire d'un jour nouveau l'œuvre inspirante de Camille Claudel.

Écrit par Charlotte Bals et Marina Buyse
Mise en scène : Charlotte Bals

Durée : 1h15, tout public